For four years, Matthias Koch lived in Mexico, a country where every detail tells a story, where light plays with the shadows of both ancient and modern histories, shaping his perception. This is not a postcard-perfect Mexico he presents here, nor an attempt at documentation. It is a personal exploration, an inner dialogue between this land and himself, woven with fascination and unease.
Mexico is a land of contrasts: the poetry of its landscapes mingles with echoes of latent tensions. His images carry these oppositions within them: exuberance and silence, radiant beauty and a diffuse melancholy. They do not aim to explain, but to feel.This series serves as a journal of impressions for him, an emotional cartography of his time in this country. It reflects both his moments of wonder and the doubts it awakened in him.
Mexico is thus an invitation to step into this in-between space, where reality gives way to an ambivalent reverie, where photography becomes a visual poem.
Pendant quatre années, Matthias Koch a vécu au Mexique, un pays où chaque détail est un récit, où la lumière joue avec les ombres d’histoires millénaires et modernes, façonnant sa perception. Ce n’est pas un Mexique de cartes postales qu’il livre ici, ni une tentative documentaire. C’est une exploration personnelle, un dialogue intérieur entre ce territoire et lui, tissé de fascination et de trouble.
Le Mexique est une terre de contrastes : la poésie de ses paysages se mêle aux échos de tensions latentes. Ses images portent en elles ces oppositions : l’exubérance et le silence, la beauté éclatante et la mélancolie diffuse. Elles ne cherchent pas à expliquer, mais à ressentir.
Cette série est pour lui un carnet d’impressions, une cartographie émotionnelle de son passage dans ce pays. Elle reflète autant ses instants d’émerveillement que les doutes qu’il a éprouvés.
Mexico est donc une invitation à entrer dans cet entre-deux, où la réalité laisse place à une rêverie ambivalente, où la photographie devient un poème visuel.